REVELATION DIVINE SUR LE POUVOIR DU PARDON ET DE L’HUMILITE (VISION REÇUE LE SAMEDI 20 JUIN 2020, AUX ENVIRONS DE 4 HEURES DU MATIN)
REVELATION DIVINE SUR LE POUVOIR DU PARDON ET DE L’HUMILITE
(VISION REÇUE LE
SAMEDI 20 JUIN 2020,
AUX ENVIRONS DE 4 HEURES DU MATIN)
Le
plus souvent, bon nombre de personnes prennent la fuite devant les victimes de
leurs offenses au lieu de s’humilier devant eux pour leur demander des excuses
ou le pardon. Cette fuite est due à l’effet de culpabilité que nos crimes ou
nos torts produit sur autrui. Cette culpabilité produit à l’immédiat la peur,
l’angoisse et les troubles de comportement. Or, cela est une erreur cruciale
que nous commettons, et qui nous coût cher.
En date du Samedi 20 Juin 2020, aux
environs de 4 heures du matin, j’ai eu un songe qui m’a encore ouvert les yeux.
Voici ledit songe :
« Dans le songe, je me tenais
devant une sorte de paysage. Et il y avait à côté de moi une voix qui me
parlait, je ne voyais personne, je n’entendais juste que cette voix. Alors,
tout ce que cette voix me disait
apparaissait sous forme de films qui défilait devant moi. Elle me dit :
¾ Regarde !
Je regardai et je vis un homme noir
sortir d’une forêt à vive allure, en courant, tout paniqué, cherchant un abri
pour se cacher. La voix me dit :
¾
Cet
homme a commis une erreur, au lieu de
retourner auprès de son offenseur, il a préféré fuir loin de lui. Or, là il
cherche sa propre mort.
La voix ajoute :
¾
Regarde
ce qui devait se passer si cet homme devait retourner auprès de son offenseur.
Du coup, je vis un nouveau film
apparaître sur-le-champ. Dans cet nouveau film, je vis cet homme en train de
converser avec trois blancs vêtus en robes blanches éclatantes, dans une forêt
purement et fortement verdoyante. Ces trois blancs lui demandaient des comptes
sur les activités qui lui étaient confiées par le maître de ladite forêt. La
mission consistait à regrouper des cotrets de bois. Cet homme leur remit tous
les coffrets qu’il avait pu entassés. Après les avoir pris, lesdits blancs s’en
allèrent. Tandis que cet homme se retournait pour s’en aller, un vieillard
apparut, sortant au milieu des herbes. Ce vieillard était aussi blanc de peau,
vêtu en longue robe toute blanche, cheveux blancs sur la tête. Il appela ledit
homme. Lorsque cet homme se retourna pour voir la personne qui l’appelait, je
le vis trembler de panique, et être saisi de peur. Puis, il s’écria : « C’est
mon maître, le propriétaire de la forêt ! »
Le vieillard lui dit :
¾
Pourquoi
as-tu menti à mes trois serviteurs au sujet du nombre des coffrets ? Au
lieu de leur tout donner, toi tu as gardé trois coffrets pour aller les vendre
et empocher l’argent pour toi-même. As-tu oublié que personne ne peut me
tromper ? Pourquoi, as-tu agi de la sorte ? Si tu avais besoin d’argent,
tu sais bien où se trouve ma maison, elle a pleine de richesses et d’argent. Tu
n’avais qu’à venir me le demander si tu avais besoin d’argent, et je te
l’aurais donné ! Homme, en agissant de la sorte, tu t’ais toi-même fais du
mal à toi-même. Tu viens d’attirer la mort sur toi-même. Moi, je ne fais du mal
à personne !
A ces mots, je vis cet homme prendre
lui-même la fuite en direction de la sortie de la forêt.
Alors, la voix qui me parlait me
dit :
¾ Si cet homme avait seulement eu le
courage de s’humilier devant son maître ou aller dans la maison de ce maître,
avec les gestes de supplications, pour lui demander pardon pour cette offense,
son maître devrait bien le pardonner. Mais, il a commis la maladresse de fuir
loin de sa présence et de sa maison pour se retrouver à l’extérieur. Il a
lui-même cherché sa propre mort.
Alors, le premier film réapparut devant
moi. Je vis cet homme errer çà et là toujours à la quête d’un refuge. Il alla
se cacher derrière un monticule de terre jaune. Après cela, je vis planer dans
les airs, une nappe noire. Cette nappe vint emballer ledit homme, et le
captura, puis se stationna dans le vide. Cet homme se débattait pour sortir
dans cette nappe dans laquelle il fut enfermé, mais en vain.
La voix qui me parlait me dit :
¾ Vous voyez ? Lorsqu’un homme
offense Dieu, il a souvent l’instinct de fuir loin de lui alors que le mieux à
faire c’est de répartir auprès de son offenseur trouver un terrain d’entente,
lui demander pardon ou lui présenter des excuses. Cela vous éloigne de la mort
pour rien, peu importe la nature du caractère de votre offenseur, bon ou
mauvais. C’est l’erreur que les gens commettent devant Dieu lorsqu’ils
L’offensent. » (Fin du songe).
Votre humble serviteur
Dr. Véracité-KTN
Mail :veracitektn@gmail.com
Whatsapp :00242 05 544 22 19
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